Différents domaines d'investigations
Elle envisage d’autres domaines comme :
La musique et le chant, les danses, le mobilier et la peinture polychrome, le patrimoine cultuel, les orgues, le patrimoine naturel, le petit patrimoine (calvaires, bancs reposoirs, etc.), le patrimoine industriel, le rôle et la densité du monde associatif et notamment dans le domaine des loisirs et du sport, etc.
Les échanges avec des personnalités reconnues et la découverte de lieux de visite viennent compléter les travaux de la Commission.
Méthodologie
La méthodologie discutée et adoptée par les membre de la Commission s’appuie sur :
La description d’un constat :
Faire état d’une situation, d’un lieu, en en présentant ses enjeux sociaux, culturels, de notoriété, géographiques, paysagers, urbains, environnementaux, économiques et touristiques ;
Etudier les conséquences de son effacement plus ou moins progressif, plus ou moins délibéré ; Approcher la notion de patrimoine matériel, comme de l’héritage immatériel ;
Des questionnements argumentés et des objectifs motivés :
Comment s’y prendre pour mettre en place une stratégie de préservation, de reconquête ? Comment partager avec le plus grand nombre le constat dressé en commission ?
Comment suggérer la conservation et faciliter la restauration ? Comment former les acteurs et encourager la transmission des connaissances et savoir-faire ? Quelle rentabilité pédagogique des sites ? Quelle méthode de validation des acquis ? Quelles retombées économiques de la préservation des identités alsaciennes ?
La formulation de recommandations :
Réalistes et pragmatiques, ses préconisations formulées à l’adresse des décideurs proposent des solutions pour atteindre les objectifs énoncés précédemment.
Quel message et comment communiquer ? Quel accompagnement et quelle garantie d’accessibilité? Quels porteurs de projets ? Quel modèle économique et quels outils de gestion ? Quelles sont les conditions de la réussite ?
Les membres de la Commission ambitionnent de jouer, au sein du Conseil Culturel d’Alsace, un rôle de « lanceur d’alerte » au service de la préservation de l’identité de l’Alsace.